En janvier déjà, nous profitions de la Journée internationale de l’éducation pour nous pencher sur les conséquences de l’épidémie de coronavirus dans nos pays cibles. Comme d’habitude, ce début d’année marquait un nouveau départ, mais il annonçait également le troisième printemps de la pandémie. La rentrée scolaire suisse a été l’occasion de faire le point. Un chiffre illustre l’impact de cette crise mondiale sur l’éducation des enfants : 600 millions de filles et garçons ont connu une fermeture partielle ou complète de leur école en 2022. Pour beaucoup, cette privation signifie non seulement un retard préjudiciable dans leur cursus scolaire, mais aussi moins de repas à la cantine et de temps passé entre amis. Au Népal, par exemple, nous avons mis en place des initiatives pour assurer une continuité. D’une part, nous ciblons et comblons les lacunes et, d’autre part, nous donnons aux écoles et aux professeurs les moyens de proposer un enseignement numérique. Pour en savoir plus à ce sujet, lisez notre article dans le numéro 3/2022 du magazine ZOOM SOS.
L’école joue un rôle déterminant pour ces élèves népalais. Une bonne éducation leur permettra de trouver leur voie.
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enfants de Bharatpur au Népal ont pu combler leurs lacunes après le long confinement grâce à notre aide.